Notre seule raison d’être incarné sur terre est d’apprendre à s’aimer véritablement, d’un amour inconditionnel. Expérimenter toutes les émotions pour s’approcher et grandir vers cet amour de soi. S’aimer sait savoir se donner le droit d’être qui l’on est véritablement et de manière authentique sans se préoccuper du regard des autres et sans jugement ni comparaison. S’accepter à 100% tel que l’on est. Il est important de comprendre que s’aimer inconditionnellement, c’est s’aimer dans tout ce l’on est et ce que l’on représente, c’est-à-dire que le mental ne doit pas intervenir car il n’y a pas de condition à cet amour.

Par exemple, ne pas se dire il faut absolument que je sois chirurgien car mes parents voudraient que je le sois ou parce que d’être chirurgien, c’est briller et c’est valorisant. Si votre cœur vous appelle à être pâtissier et que vous ne vous écoutez pas alors vous ne vous acceptez pas tel que vous êtes. A ce moment-là, on n’est pas aligné et on ne s’accorde pas toute l’attention et l’importance. Ce n’est pas le véritable amour.

S’aimer véritablement, c’est être la personne la plus importante dans sa vie. C’est-à-dire, s’accorder la même attention que l’on pourrait donner à ses enfants. Arriver à couper les liens toxiques qui nous bouffent l’énergie et donc nous empêchent d’être. Arriver à dire NON quand on pense NON et ne pas considérer le regard des autres.

Si on est en résistance vis-à-vis de soi et donc pas aligné, alors, à un moment donné, notre corps ou notre psyché ou même les deux qui ont été en alerte durant une période plus ou moins longue risquent de lâcher à tout moment. C’est ainsi que l’on retrouve des burnout, des problèmes cardio-vasculaires, des AVC… Si nous ne sommes pas sur notre chemin, nous avons des signes, des synchronicités. Si nous ne les voyons pas ou n’en prenons pas cas, alors c’est au tour de notre corps de nous parler par des douleurs ou de petits accidents. Bien entendu, si nous faisons toujours « la sourde oreille » c’est un STOP plus important qui s’impose à nous. ALORS ÉCOUTEZ-VOUS